Jaja et Erika à l'assaut de la bulle!!!!!

Comme nous vous l’avons expliqué hier (ICI), cette semaine, ce sont Jaja et Erika qui sont aux commandes de la “matinale de la Bulle”, c’est aujourd’hui Jaja qui commence en vous présentant son roman “Bora-Bora’s Bitches”, à toi Jaja!!!

(C’est le moment d’éloigner les enfants et les âmes sensibles...)

Les Tessie-cops

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Jaja : Vous êtes prêtes les filles ?

C’est donc moi Jacinthe Nitouche qui commence. Oui on a tiré à la “courte paille mamelon” et c’est moi qui ai gagné.

Ça vous étonne ?

Je suis imbattable à ce jeu.

Erika : Vous saurez bientôt que je n’avais aucune chance dès le départ.

Allez ma Jaja, fais nous rêver comme jamais, comme toi seule sais le faire !!!

Encore un merci @aliswordcreative... toi même tu sais !!!!

Aujourd’hui, nous vous présentons donc le téton aux abois et la cuisse tremblants « Bora-Bora’s Bitches », le roman que j’ai écrit à la sueur de mon poil pubien (oui tu comprendras par la suite pourquoi il ne m’en reste qu’un) !

Rentrons direct dans le vif du sujet et place au résumé :

Salut les culs, moi c'est Jacinthe Nitouche, Jaja pour les intimes. Alors à ce qu'il paraît faut que je ponde le résumé de mon histoire qui fait genre plus de 400 pages. Vous pensez vraiment que si j'avais réussi à faire court, ça serait un tel pavé ? Non je ne pense pas !!!

Que dire à part que je vis ou plus exactement j'essaie de survivre avec trois filles plus cinglées les unes que les autres, Pétra Van de Pute, Jane Moreau et Phillis Pine dans un endroit que nous avons rêveusement surnommé « Bora-Bora ». Oui sur le papier ça peut envoyer de la bûchette mais dites-vous que dans la vie, c'est pire. Pour épicer le tout, un mâle de nature indéterminée qui a le don de me mettre le téton en érection et la vulve au court bouillon, est apparu subitement sur notre palier.

Vous allez donc suivre une année de notre merveilleux quotidien et j’ai envie de dire : « Mais quel quotidien !!!! ».

Quoi ?

C’est moi qui raconte, je ne vais pas vous dire que notre quotidien est aussi mou que le périnée de Mamie Nova, ce ne serait pas crédible.

Voilà, alors après j'ai envie de dire qu'il ne vous reste plus qu'à mélanger tout ça dans un shaker, de verser le tout dans un joli verre à cocktail avec une paille et de le déguster amoureusement.

Pour que vous puissiez rentrer un peu plus profondément (et non ce n’est pas sale)  dans l’univers des Bora- Bora’s Bitches, je vais essayer de vous les présenter :

Jacinthe Nitouche : donc si tu suis un minimum du mamelon, tu auras compris que c’est moi... sinon ben je ne te félicite pas maraud ! Alors je ne vais pas en dire plus parce que sinon je risque de tout dévoiler et du coup tout ça n’aurait plus aucun intérêt.

Jane Moreau : mon amie d’enfance. C’est un peu « la raison » de l’équipe, celle qui « essaie » de nous prévenir quand on va trop loin. D’ailleurs quand j'y réfléchis, heureusement qu’on a Jane à Bora-Bora, je n’ose imaginer ce que serait cet endroit sans elle. Même si on la chambre souvent, elle nous apaise énormément et puis elle nous sauve souvent la vie grâce à sa trousse de secours et son Smecta à portée de main.

Pétra Van de Pute : je la connais depuis genre… toujours. Nos parents sont des amis d’enfance et on aime dire qu’on forme un grand clan sicilien. Le souci, c’est que nous n’avons de « sicilien » que notre penchant pour l’huile d’olive, le Limoncello et les mafieux aux costards cinq pièces incroyablement sexy… mais c’est déjà un bon début. Les gens disent souvent que nous sommes les mêmes sauf qu’elle est sortie avec de belles boucles blondes et que moi j’ai débarqué châtain avec une ondulation indéterminée.

Phillis Pine : dite « la Syphilis » comme j’aime la surnommer car je la trouve aussi nuisible que cette maladie. Alors si Jane est « la raison », Phillis pourrait être « la débauche ». Elle aime crier haut et fort qu’elle n’a aucun principe dans la vie, surtout en matière de sexe. C'est la dernière à avoir intégré le groupe, il y a moins de trois ans et on s'en bouffe encore le mamelon.

Pour essayer de « métaphorer » tout ça : Bora-Bora serait la tranche de pain, moi le beurre, Pétra la coppa, la Syphilis le piment d’Espelette et Jane la touche de miel. Au final, à nous toutes on peut vite te filer la gerbe !

Et sinon pour vous mettre dans l’ambiance de ce quatuor “moruesque”, rien de mieux qu’un extrait :

Une fois dans Bora-Bora je hurle à la mort !

– J'ai besoin d'un verre, un ÉNORME VERRE avec plein de rhum.

Pétra me saute dessus :

– T’as vu ce mec ? C'est un don du ciel ! Au fait pourquoi il t'a appelée Brandon Lee ? Il t’a « galoche » dans l'ascenseur ? Il embrasse bien ? Je suis sûre qu'il embrasse bien.

– Mais quel gros bâtard !!! Brandon Lee c'est l'acteur de The Crow. Une référence minable à mon maquillage fatigué de ce matin, dis-je à bout de force. Il arrive mon mojito ou bien ? Je crois que je suis à bout.

La Syphilis arrive avec mon verre tout en se déhanchant sur SA chanson : Femme Libérée.

– Ne me laisse pas tomber, je suis si fragile, être une femme libérée tu sais c’est pas si facile. Que j'aime cette chanson ! chante-t-elle en continuant de se trémousser.

Je bois mon verre d'un trait. J'ai besoin de me remettre les idées en place.

– Laisse-moi rire, si toi tu es fragile moi j'ai la sagesse de Gandhi. Au fait j'ai cru que tu n'avais ni Perrier, ni menthe, ni sucre, ni rhum ?

La Syphilis continue de chanter à s'en décrocher la mâchoire.

– Et oui mais elle nous a toutes appelées pour qu'on en achète. Genre nous ne sommes pas dignes de confiance, se plaint Jane en me resservant un verre.

– VOUS n'êtes pas dignes de confiance, répète la Syphilis en remettant la chanson.

– Certes mais quand il s'agit de « mojito party » nous avons des principes, réplique Pétra qui continue de regarder par le judas. Putain les meufs, on a quand même une bombe atomique sur le palier.

– Oui mais regarde Tchernobyl, ce n'est pas que du positif, hein ?! Dis ça aux gosses qui se retrouvent avec trois bras et deux têtes, dis-je en buvant quelques gorgées.

– Ouais mais pense au mâle qui a une double bite. Là j'ai envie de dire banco ! répond Pétra sans quitter le judas.

La soirée est lancée, le ton est donné !

– Allez Pétra viens danser avec nous, il ne va pas débarquer dans le couloir phallus au vent, ricane Jane.

– Quel dommage !

– Allez trinquons : À nous et aux double-phallus, dis-je en levant mon verre.

– À NOUS ET AUX DOUBLE-PHALLUS !

Et sinon pour celles qui ont envie de plonger plus intimement dans notre univers (ce n’est toujours pas sale), vous pouvez rejoindre notre facebook (ICI). Et oui, nous ne sommes pas que des morues chattes au vent, nous sommes aussi dans le vent tout court.

Et puis parce que je sais que certaines ne vont plus pouvoir se passer de nos corps de rêve, nous avons même créé un blog sur notre quotidien (ICI) où vous pourrez vous délecter de nos précieux conseils.

A demain pour la suite des aventures “bitchiques”  avec la description de “mon gland”.... mon connard sexy du 4B.

Oui je préfère préciser, ne pensez pas que j’ai un gland qui va pousser pendant la nuit, soyons sérieux les amis.

Erika : C’est trop loin demain ! On veut du 4B, du 4B, du 4B, allez toutes avec moi : “du 4 B, du 4B, du 4B...” !!!

Jaja & Erika

Associées chez Cookies & Cie ou Fessées & Cravaches, au choix !

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Perso, je fais déjà partie du fan club du 4B...
Demain: Du 4B! Du 4B! Du 4B!!!!!!!!