Erika et Jaja à l'assaut de la bulle!!!!

Comme promis ce matin, vous allez pouvoir mieux découvrir Ella et Florent dans un extait de La Brèche FlorElla d'Erika:

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Pour illustrer le propos de ce matin, voici l’extrait promis. Il met en scène le tout premier contact civilisé d’Ella et Florent :

“Lorsqu’Ella s’arma enfin d’assez de courage pour lever un timide poing en direction de la porte, le jeune psychologue l’ouvrit vigoureusement et la bouscula. Il la retint de justesse, si fébrile qu’elle était à cet instant-là. Sans ce geste bienvenu, elle aurait probablement chancelé et serait tombée sur son séant. Sans lui lâcher le bras, il s’épouvanta :

        – Je suis désolé ! Mademoiselle… je sortais, je suis…

        – Non, non c’est moi…, l’interrompit Ella qui se sentit très idiote. C’est moi… Monsieur Rossignol, qui étais…

Aucun des deux n’avait encore bougé d’un iota.

        – Vous connaissez mon nom ? la coupa-t-il surpris, un sourire incontrôlable étirant ses lèvres.

Son visage resplendit et le trouble d’Ella s’accentua. Il sentit que les jambes de la jeune femme s’affaiblirent. Florent crut qu’elle se sentait mal, il était loin de s’imaginer que c’était lui-même qui lui infligeait une telle torture. Naïvement, il lui intima :

        – Entrez un moment, je crois que vous êtes souffrante.

Il passa son bras autour des épaules frêles d’Ella, ce qui leur arracha à tous deux un frisson parfaitement harmonisé, et la guida vers la chaise la plus accessible de son bureau. La jeune femme s’assit, aidée par la douceur des gestes de Florent. Il lui accorda un regard bienveillant et en même temps, empli d’incompréhension puis se dirigea vers la porte afin de la fermer. Pendant ce temps, Ella, qui pensait que le sol était bien plus près, lâcha l’anse du panier qu’elle transportait depuis le matin même. Or, celui-ci se renversa et la moitié du contenu se répandit sur le lino beige.

        – Quelle maladroite je fais ! Il ne manquait plus que ça !

Elle s’accroupit immédiatement, ramassa les cookies qui s’étaient libérés du tissu et les déposa sur le jupon de sa robe. Tandis qu’elle maugréait, Florent qui était de retour, s’agenouilla à côté et dans un geste insensé, il s’empara élégamment de cette main qui s’avançait pour ramasser le dernier biscuit. Il la posa au sol, maintint la sienne au-dessus quelques secondes, puis referma son emprise de manière possessive. De son pouce délicat, il caressa la naissance de son fin poignet. Dès que les doigts de Florent avaient effleuré la peau d’Ella, l’air s’était chargé d’électricité et tous deux avaient ressenti comme une vague de félicité inonder leur corps. La force de ce toucher était si puissante et effrayante en même temps, qu’elle garda la tête baissée. Elle n’osait relever les yeux vers celui qui lui témoignait de sa tendresse infinie...

Florent contemplait de toute son Âme la jeune femme qu’il désirait tant étreindre. Même si le lieu était encore moins indiqué que la première fois qu’ils avaient été si proches, il s’en moquait. Il n’avait jamais éprouvé de sensations si plaisantes en compagnie d’une femme, malgré…

Puisque sa belle inconnue s’obstinait à fixer le sol et qu’il refusait d’altérer cet interlude exquis par des mots, comme dans la ruelle, de son autre main, il lui releva doucement le visage. Leurs prunelles se reconnurent immédiatement et s’accrochèrent dans un feu d’artifice d’éclairs amoureux. Ils s’observèrent un long moment comme si tout était dit par la simplicité et surtout, l’authenticité de leur œillade. Seule une vingtaine de centimètres les séparait, mais c’était trop ! Florent ne pensait plus, et, pris d’une pulsion, sans lâcher le regard de la jeune femme, s’avança dangereusement vers ses lèvres. Cette dernière, entièrement transie par la puissance de son propre désir, rassembla néanmoins son esprit épars et se surprit à murmurer les yeux toujours ancrés aux siens :

        – Ella.

        L’homme s’immobilisa alors à deux centimètres de sa bouche et, à son tour, chuchota dans une intonation si chantante que la région cardiaque de la jeune stagiaire s’excita :

        – Florent… Bonjour Ella !

        – Bonjour Florent ! susurra-t-elle d’un ton sensuel qu’elle ne se connaissait pas.”

Pour connaître les rebondissements de cette histoire d’amour écrite dans les étoiles mais pour laquelle autant Florent qu’Ella devra se battre, vous savez où retrouver ces personnages

Le Blog ICI et la page Facebook ICI.

En attendant d’autres hostilités chères « Bulliennes », Jaja, Erika, les Morues, 4B, Ella, Florent, Lucilla, le Morveux et tant d’autres vous « léchouillent ».

Quant aux Tessie-Cops, nous leur réservons un traitement spécial. La galoche, la léchouille n’étant plus suffisantes pour leur témoigner de notre profonde gratitude de nous soutenir aussi chaleureusement, nous avons dû passer à l’étape supérieure... Et ne voyez rien de salace là-dedans non, nous savons nous  tenir aussi non mais !

Nous avons alors pensé leur écrire un poème, puis nous nous sommes dit que c’était trop Ella ça !

Autre suggestion : faire une grosse fiesta libertine, et là c’était trop “moruesque” et trop Lucilla. Mais nous nous ferons ça quand même et nous ferons péter le champagne, yeahhhhhhhhhhhhh !

Ensuite, l’idée de la danse de l’allégresse filmée nous est venue. Contre-indication climatique : avec les intempéries de cette année, nos mamelons risqueraient de ne jamais s’en remettre, déjà que...

Alors que faire ?

Déjà commencer par dire un énième MERCI, même si elles n’en peuvent plus de l’entendre, c’est important qu’elles connaissent notre sincère reconnaissance !

Puis, célébrer chaque jour la Bulle comme elle le mérite car nous n’aurions jamais créé de si belles amitiés sans ce lieu unique, convivial et vital !!!

Et enfin...  

Jaja : Non en fait il n’y en pas mais sinon ça faisait une sorte de déséquilibre dans l'énumération et je n’avais pas envie qu’Erika passe la nuit dessus.

Erika : ma santé mentale de control freak et moi-même te remercions ma chatte ;-) !

Et spéciale cassdédi à Nini pour avoir supporté nos nombreuses séances de travail à base de "décompte de tractions de H" (Twilight Love), “épilation” et autres réjouissances hautement philosophiques !!!

VIVE LA BULLE, VIVE TESS ET LES TESSIE-COPS, VIVE LES TWI-COPS ET VIVE NOUS !!!

Jaja & Erika

Associées chez Cookies & Cie ou Fessées & Cravaches, au choix !

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Oooooohhhhhh trop mignon la cassedédi les chattes!!!
Ah ce H... soupirs....
 il a alimenté pas mal de conversations, mais il n'a pas vraiment fait avancer nos séances de travail!!!!! MDR!!!!!
Par contre, si vous aimez ce fameux H, sachez qu'il a inspiré le personnage de l'un des romans présentés cette semaine, mais je ne vous dirai pas lequel...

Et je le répète! Ces (nombreuses) séances de travail ont été un immense plaisir!!!!
épuisantes mais mémorables ;-))))