Sorti le 6 juin 2019
Résumé:
On dit que les opposés s'attirent. Et s'il y en a bien une qui est d'accord avec ça, c'est Summer, parce qu'il n'y a aucune raison logique pour qu'elle soit attirée par Colin Fitzgerald. En règle générale, elle n'aime pas les intellos tatoués, les jeux vidéo, les joueurs de hockey qui pensent qu'elle est volage et superficielle. Cette image qu'il a d'elle ne joue pas en sa faveur. Ce qui arrange encore moins Summer, c'est qu'il soit copain-copain avec son frère.
Et que son meilleur ami ait le béguin pour elle.
Et qu'elle vienne d'emménager avec eux.
Parce que oui, pour couronner le tout, ils sont colocataires !
Summer a décidé que ça n'avait pas d'importance. Fitzy a clairement déclaré qu'elle ne l'intéressait pas, même si les étincelles entre eux risquent de mettre le feu à leur maison. Elle n'est pas le genre de fille à courir après un homme, et elle ne va pas commencer. La vie de Summer est déjà bien assez remplie par une nouvelle école, un professeur louche et un avenir incertain. Et puis, si son colocataire sexy se réveille et réalise ce qu'il manque... il sait où la trouver.
Mon avis: Une fois n'est pas coutume, ce n'est que lorsque j'ai commencé le livre que je me suis aperçue que cette histoire était... un spin off. Pour être plus exacte, le spin off de Off Campus, une saga que je n'ai absolument pas lue. Mais bon, si cela peut vous rassurer, ce livre peut très bien se lire sans avoir lu les précédents.
Une fois passé ce constat, je me suis très vite plongée dans l'histoire de Summer, une jeune étudiante qui, après s'être fait renvoyée de sa première université, est pistonnée par son père pour étudier la mode à Briar. Refoulée de sa sororité, elle n'a d'autre choix que d'emménager avec Hollis, Hunter et Fitzy, les amis hockeyeurs de son frère. Ce qui ne devrait pas poser de problèmes puisqu'elle les connait et s'entend plutôt bien avec eux. Mais tout ça c'était avant qu'elle embrasse Hunter le soir du réveillon de l'An et que Fitz, le garçon qui lui plait depuis longtemps, l'insulte de fille superficielle et idiote. Ouep, la colocation risque d'être tendue. Enfin, un problème après l'autre. Il faut qu'elle surpasse ses difficultés scolaires, réussit à convaincre l'assistant du doyen qu'elle mérite sa place et qu'elle arrive à trouver ce qui cloche avec son professeur de mode...
Briar Université ne révolutionne pas le genre de la New Romance. Bien qu'il se lise très facilement et m'a fait sourire par moment, il ne restera pas non plus dans le top 10 des lectures que j'ai aimé cette année. Ne vous méprenez pas, ce n'est pas une chronique négative, car j'ai passé un très bon moment avec Summer et Colin, mais il a manqué cette petite étincelle qui fait que l'on oubliera l'histoire.
Hormis ce fait, je dirais que l'histoire est plutôt bien construite. Il y a de l'humour, de l'amour, un brin de sujets sérieux. L'auteure réussit à garder une aura légère autour de l'histoire de Summer qui pourtant aurait peut-être mérité un peu plus de profondeur.
Je m'explique. Summer apparaît comme un personnage vaniteux, superficiel et idiot. Le cliché de la belle blonde riche quoi! Or une fois que l'on creuse, on s'aperçoit vite que la jeune femme joue de cette image pour cacher son trouble de l'attention qui lui pourrit la vie. Pour cela, elle use d'artifices afin de masquer ce "défaut". C'est à ce niveau que j'aurais aimé que l'auteur creuse un peu plus, plutôt que de s'éparpiller avec un autre sujet important, le harcèlement sexuel, traité lui aussi superficiellement. Je trouve cela dommage, mais je respecte le choix de l'auteure.
Du côté des autres personnages, et plus précisément, Colin, j'ai aimé que l'auteure sorte des sentiers battus pour représenter son héros. Bon ok, c'est un sportif, beau-gosse et populaire maiiiis c'est aussi un mec réservé, intelligent et geek! C'est sur ce dernier point que j'ai craqué. Le mec en plus d'être au top niveau, il est aussi un crac niveau technologie au point d'avoir créé son propre jeu vidéo. Sexyyyy.
En bref, une romance avec laquelle j'ai passé un bon moment, même si je n'en garderais pas un souvenir impérissable. J'aurais aimé que l'auteure approfondisse un peu plus son histoire mais même telle quelle, cela reste une lecture agréable.
Une fois passé ce constat, je me suis très vite plongée dans l'histoire de Summer, une jeune étudiante qui, après s'être fait renvoyée de sa première université, est pistonnée par son père pour étudier la mode à Briar. Refoulée de sa sororité, elle n'a d'autre choix que d'emménager avec Hollis, Hunter et Fitzy, les amis hockeyeurs de son frère. Ce qui ne devrait pas poser de problèmes puisqu'elle les connait et s'entend plutôt bien avec eux. Mais tout ça c'était avant qu'elle embrasse Hunter le soir du réveillon de l'An et que Fitz, le garçon qui lui plait depuis longtemps, l'insulte de fille superficielle et idiote. Ouep, la colocation risque d'être tendue. Enfin, un problème après l'autre. Il faut qu'elle surpasse ses difficultés scolaires, réussit à convaincre l'assistant du doyen qu'elle mérite sa place et qu'elle arrive à trouver ce qui cloche avec son professeur de mode...
Briar Université ne révolutionne pas le genre de la New Romance. Bien qu'il se lise très facilement et m'a fait sourire par moment, il ne restera pas non plus dans le top 10 des lectures que j'ai aimé cette année. Ne vous méprenez pas, ce n'est pas une chronique négative, car j'ai passé un très bon moment avec Summer et Colin, mais il a manqué cette petite étincelle qui fait que l'on oubliera l'histoire.
Hormis ce fait, je dirais que l'histoire est plutôt bien construite. Il y a de l'humour, de l'amour, un brin de sujets sérieux. L'auteure réussit à garder une aura légère autour de l'histoire de Summer qui pourtant aurait peut-être mérité un peu plus de profondeur.
Je m'explique. Summer apparaît comme un personnage vaniteux, superficiel et idiot. Le cliché de la belle blonde riche quoi! Or une fois que l'on creuse, on s'aperçoit vite que la jeune femme joue de cette image pour cacher son trouble de l'attention qui lui pourrit la vie. Pour cela, elle use d'artifices afin de masquer ce "défaut". C'est à ce niveau que j'aurais aimé que l'auteur creuse un peu plus, plutôt que de s'éparpiller avec un autre sujet important, le harcèlement sexuel, traité lui aussi superficiellement. Je trouve cela dommage, mais je respecte le choix de l'auteure.
Du côté des autres personnages, et plus précisément, Colin, j'ai aimé que l'auteure sorte des sentiers battus pour représenter son héros. Bon ok, c'est un sportif, beau-gosse et populaire maiiiis c'est aussi un mec réservé, intelligent et geek! C'est sur ce dernier point que j'ai craqué. Le mec en plus d'être au top niveau, il est aussi un crac niveau technologie au point d'avoir créé son propre jeu vidéo. Sexyyyy.
En bref, une romance avec laquelle j'ai passé un bon moment, même si je n'en garderais pas un souvenir impérissable. J'aurais aimé que l'auteure approfondisse un peu plus son histoire mais même telle quelle, cela reste une lecture agréable.
Mes extraits:
La particularité d'un baiser, c'est qu'il constitue un prélude au sexe. Parfois, on embrasse par ennui. Parfois, un baiser nous fait chavirer, parfois, on ne sent rien du tout. Qu'est-ce que tous ces baisers ont en commun ? Leur banalité.
J'aimerais plutôt vous parler de ces baisers qui sont uniques en leur genre.
Ces baisers qui restent dans votre tête pendant des heures, des jours. Qui font que vous vous touchiez les lèvres sans même vous en rendre compte et que vous frissonniez en vous souvenant de cette bouche contre la vôtre.
Ce n'est pas forcément un baiser spectaculaire. Pas la peine de se trouver devant la tour Eiffel pendant un coucher de soleil, puis une aurore boréale au-dessus de vos têtes (qui apparaîtrait miraculeusement à Paris).
***
– Tu danses avec moi ?
J’ai envie de répondre non.
Mais je me tâte à dire oui.
C’est le fameux « Dilemme Summers », terme que j’ai inventé pour qualifier les réactions diamétralement opposées que provoque en moi cette déesse blonde aux yeux verts.
Un « évidemment que oui », aussitôt suivi de « non, jamais de la vie ».
Ou encore « j’ai envie de la déshabiller », puis « mieux vaut courir le plus loin possible d’elle ».
– Merci, mais je n’aime pas danser.
Je ne mens pas. Il n’y a pas pire que la danse.
Et en présence de Summer Di Laurentis, c’est mon instinct de survie qui prend le dessus.
J’ai envie de répondre non.
Mais je me tâte à dire oui.
C’est le fameux « Dilemme Summers », terme que j’ai inventé pour qualifier les réactions diamétralement opposées que provoque en moi cette déesse blonde aux yeux verts.
Un « évidemment que oui », aussitôt suivi de « non, jamais de la vie ».
Ou encore « j’ai envie de la déshabiller », puis « mieux vaut courir le plus loin possible d’elle ».
– Merci, mais je n’aime pas danser.
Je ne mens pas. Il n’y a pas pire que la danse.
Et en présence de Summer Di Laurentis, c’est mon instinct de survie qui prend le dessus.
Chronique de Sandy Twi-Cops
Broché: 397 pages
Editeur: Hugo Roman
Collection: New Romance
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